L'église Sainte-Marie remonte probablement au haut Moyen Âge. L'édifice actuel ne date cependant, pour ses parties les plus anciennes, que du XXIIe siècle ou du début du XXIIIe siècle. Le chevet fortifié, de forme pentagonale, est en effet le dernier vestige de l'église romane. Extérieurement comme intérieurement, ses parois sont appareillées en pierre de taille, ce qui montre le grand soin apporté à l'édifice. L’orientation du chevet vers l'intérieur de l'enceinte fortifiée du village laisse penser que l'église jouait le rôle d'ultime refuge en cas d'attaque.
Le reste de l'église romane ne nous est pas parvenu. La nef fut reconstruite au xviiie siècle et rallongée au xixe siècle, avec la construction de la façade actuelle. La nef est couverte par une charpente sur arcs diaphragmes, et remploie des pierres de taille provenant probablement de l'édifice roman.
Le mobilier comporte plusieurs retables et statues baroques (xviiie siècle) et néo-gothiques (xixe siècle). De plus, l'édifice conservait un fragment sculpté attribué à un linteau et portant des traces d'une inscription aujourd'hui indéchiffrable. La datation souvent avancée pour cette sculpture (époque pré-romane) n'est pas vérifiable. Cette pièce semble ne plus être entreposée dans l'église
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L'église Sainte-Marie remonte probablement au haut Moyen Âge. L'édifice actuel ne date cependant, pour ses parties les plus anciennes, que du XXIIe siècle ou du début du XXIIIe siècle. Le chevet fortifié, de forme pentagonale, est en effet le dernier vestige de l'église romane. Extérieurement comme intérieurement, ses parois sont appareillées en pierre de taille, ce qui montre le grand soin apporté à l'édifice. L’orientation du chevet vers l'intérieur de l'enceinte fortifiée du village laisse penser que l'église jouait le rôle d'ultime refuge en cas d'attaque.
Le reste de l'église romane ne nous est pas parvenu. La nef fut reconstruite au xviiie siècle et rallongée au xixe siècle, avec la construction de la façade actuelle. La nef est couverte par une charpente sur arcs diaphragmes, et remploie des pierres de taille provenant probablement de l'édifice roman.
Le mobilier comporte plusieurs retables et statues baroques (xviiie siècle) et néo-gothiques (xixe siècle). De plus, l'édifice conservait un fragment sculpté attribué à un linteau et portant des traces d'une inscription aujourd'hui indéchiffrable. La datation souvent avancée pour cette sculpture (époque pré-romane) n'est pas vérifiable. Cette pièce semble ne plus être entreposée dans l'église
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L'église Sainte-Marie remonte probablement au haut Moyen Âge. L'édifice actuel ne date cependant, pour ses parties les plus anciennes, que du XXIIe siècle ou du début du XXIIIe siècle. Le chevet fortifié, de forme pentagonale, est en effet le dernier vestige de l'église romane. Extérieurement comme intérieurement, ses parois sont appareillées en pierre de taille, ce qui montre le grand soin apporté à l'édifice. L’orientation du chevet vers l'intérieur de l'enceinte fortifiée du village laisse penser que l'église jouait le rôle d'ultime refuge en cas d'attaque.
Le reste de l'église romane ne nous est pas parvenu. La nef fut reconstruite au xviiie siècle et rallongée au xixe siècle, avec la construction de la façade actuelle. La nef est couverte par une charpente sur arcs diaphragmes, et remploie des pierres de taille provenant probablement de l'édifice roman.
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L'église Sainte-Marie remonte probablement au haut Moyen Âge. L'édifice actuel ne date cependant, pour ses parties les plus anciennes, que du XXIIe siècle ou du début du XXIIIe siècle. Le chevet fortifié, de forme pentagonale, est en effet le dernier vestige de l'église romane. Extérieurement comme intérieurement, ses parois sont appareillées en pierre de taille, ce qui montre le grand soin apporté à l'édifice. L’orientation du chevet vers l'intérieur de l'enceinte fortifiée du village laisse penser que l'église jouait le rôle d'ultime refuge en cas d'attaque.
Le reste de l'église romane ne nous est pas parvenu. La nef fut reconstruite au xviiie siècle et rallongée au xixe siècle, avec la construction de la façade actuelle. La nef est couverte par une charpente sur arcs diaphragmes, et remploie des pierres de taille provenant probablement de l'édifice roman.
Le mobilier comporte plusieurs retables et statues baroques (xviiie siècle) et néo-gothiques (xixe siècle). De plus, l'édifice conservait un fragment sculpté attribué à un linteau et portant des traces d'une inscription aujourd'hui indéchiffrable. La datation souvent avancée pour cette sculpture (époque pré-romane) n'est pas vérifiable. Cette pièce semble ne plus être entreposée dans l'église
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Fragment de Linteau du Xe siècle.
Ce fragment de linteau fut découvert dans le sol de l'église lors des travaux effectués à la fin du XIXe siècle. Il fut, dès cette époque enchassé dans le mur du Couchant. La partie droite présente une rosace primitive, à sa gauche est figuré un ange à mi-buste portant sur sa poitrine un texte dont seules quelques lettres sont lisibles. À gauche de cette sculpture, la moitié d'un corps d'animal est représentée, il s'agit d'un lion dressé sur ses pattes arrières et dont la queue s'élève au dessus du dos.
Cette sculpture du Xe siècle peut être rapprochée du récit du "Char de Dieu" du prophète Ezéchiel.
1. Ils avaient des mains d'hommes sous leurs ailes, V.8
2. Du Feu sortait des éclairs V.2
3. Comme l'arc qui est dansla mire un jour de pluie, V.28
4. Comme si une roue était au milieu d'une roue ... leurs jantes étaient pleines d'yeux tout autour, V18
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