Tostaky (le continent) est une chanson de Noir Désir parue sur l'album Tostaky, en janvier 1993
Nous survolons des villes
Des autoroutes en friche
Diagonales perdues
Et des droites au hasard
Des femmes sans visage
À l'atterrissage
Soyons désinvoltes
N'ayons l'air de rien
Para la queja mexica
Este sueño de america
Celebremos la aluna
De siempre, ahorita
Et les branleurs traînent
Dans la rue
Et ils envoient ça aux étoiles
Perdues
Combien à attendre
Encore combien à attendre
Combien à attendre
Encore combien à attendre
Combien à attendre
Encore combien à attendre
Combien à attendre
Tostaky
Le fond du continent
L'or du nouveau monde
Pyramides jetables
Hommes d'affaires impeccables
Quand la pluie de sagesse
Pourrit sur les trottoirs
Notre mère la Terre
Étonnez-moi
Para la queja mexica
Este sueño de america
Celebremos la aluna
De siempre, ahorita
Pendre les fantômes
Cortez
Et pourrir à l'ombre
Cortez
De l'Amérique vendue
À des gyrophares crûs
Pour des nouveaux faisceaux
Pour des nouveaux soleils
Pour des nouveaux rayons
Pour des nouveaux soleils
Aqui para nosotros
Aqui para nosotros
Aqui para nosotros
Aqui para nosotros
Aqui para nosotros
Aqui para nosotros
Aqui para nosotros
Aqui para nosotros
Aqui para nosotros
Aqui para nosotros
Aqui para nosotros
Tostaky
Bien reçu
Tous les messages
Ils disent qu'ils ont compris
Qu'il n'y a plus le choix
Que l'esprit qui souffle
Guidera leurs pas
Qu'arrivent les derniers temps où
Nous pourrons parler
Alors soyons désinvoltes
N'ayons l'air de rien
Soyons désinvoltes
N'ayons l'air de rien
Allez, soyons désinvoltes
N'ayons l'air de rien
Soyons désinvoltes
N'ayons l'air de rien
Paroliers : Denis Guy Marc Barthe / Bertrand Lucien Cantat / Frederic Vincen Vidalenc / Serge Marius Pierre Teyssot Gay
Paroles de Tostaky (Le continent) © Universal Music Publishing
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Le vent nous portera est une chanson du groupe Noir Désir (2001) en single et publiée sur l'album Des visages des figures le 11 septembre 2001.
Je n'ai pas peur de la route
Faudrait voir, faut qu'on y goûte
Des méandres au creux des reins
Et tout ira bien là
Le vent nous portera
Ton message à la Grande Ourse
Et la trajectoire de la course
Un instantané de velours
Même s'il ne sert à rien va
Le vent l'emportera
Tout disparaîtra mais
Le vent nous portera
La caresse et la mitraille
Et cette plaie qui nous tiraille
Le palais des autres jours
D'hier et demain
Le vent les portera
Génétique en bandoulière
Des chromosomes dans l'atmosphère
Des taxis pour les galaxies
Et mon tapis volant, dis?
Le vent l'emportera
Tout disparaîtra mais
Le vent nous portera
Ce parfum de nos années mortes
Ce qui peut frapper à ta porte
Infinité de destins
On en pose un et qu'est-ce qu'on en retient?
Le vent l'emportera
Pendant que la marée monte
Et que chacun refait ses comptes
J'emmène au creux de mon ombre
Des poussières de toi
Le vent les portera
Tout disparaîtra mais
Le vent nous portera
Paroliers : Jean-paul Roy / Gay Serge Marius Pierre Teyssot / Denis Guy Marc Barthe / Bertrand Lucien Cantat
Paroles de Le vent nous portera © Universal Music Publishing, Nd Musique
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The Real Me est la seconde chanson de l'opéra-rock Quadrophenia des Who (1973)
I went back to the doctor, to get another shrink
I sit and tell him 'bout my weekend
But he never betrays what he thinks, hoo!
Can you see the real me, doctor? Doctor!
Can you see the real me, doctor? Oh, doctor!
I went back to my mother
I said, "I'm crazy, ma, help me"
She said, "I know how it feels, son
'Cause it runs in the family"
Can you see the real me, mama? Mama!
Can you see the real me, mama? Oh, mama!
Can you see, can you see the real me?
Can you see, can you see the real me?
The real me, the real me
The cracks between the paving stones, like rivers of flowing veins
Strange people who know me, peeping from behind every window pane
The girl I used to love, lives in this yellow house
Yesterday she passed me by, she doesn't wanna know me now
Can you see the real me?
Can ya?
Can ya?
Can you see the real me?
Can ya? Oh, yeah!
I ended up with a preacher, full of lies and hate
I seemed to scare him a little
So he showed me to the golden gate
Can you see the real me, preacher? Preacher!
Can you see the real me, preacher?
Can you see?
Can you see?
Can you see? Oh!
Can you see the real me, doctor?
Can you see the real me, mother?
Can you see the real me, me, me, me...?
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Hurt est une chanson écrite par Trent Reznor pour l'album de Nine Inch Nails : The Downward Spiral.
En 2002, elle est reprise par Johnny Cash. Il s'agit de l'une des dernières chansons interprétées par l'artiste avant sa mort.
I hurt myself today
To see if I still feel
I focus on the pain
The only thing that's real
The needle tears a hole
The old familiar sting
Try to kill it all away
But I remember everything
What have I become?
My sweetest friend
Everyone I know goes away
In the end
And you could have it all
My empire of dirt
I will let you down
I will make you hurt
I wear this crown of thorns
Upon my liar's chair
Full of broken thoughts
I cannot repair
Paroliers : Trent Reznor
Paroles de Hurt © Arlovol Music, Leaving Hope Music Inc
Beneath the stains of time
The feelings disappear
You are someone else
I'm still right here
What have I become?
My sweetest friend
Everyone I know goes away
In the end
And you could have it all
My empire of dirt
I will let you down
I will make you hurt
If I could start again
A million miles away
I would keep myself
I would find a way
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