L'Aigrette garzette niche en colonie, souvent avec d'autres Ardéidés, dans les arbres, où elle construit un nid fait de roseaux et de brindilles. On verra parfois des colonies au sol dans des roselières. La ponte constituée de 3 à 5 œufs bleu verdâtre a lieu entre fin avril et début mai. Le couple couve alternativement pendant une période de 21 à 25 jours. Les parents nourrissent les jeunes durant une quarantaine de jours. Les jeunes quittent le nid pour s'envoler au bout de 5 semaines.
Elle est présente en Europe du Sud, sur tout le pourtour méditerranéen jusqu'en Afrique subsaharienne. Généralement migratrice, la majeure partie de la population hiverne en Afrique mais une partie est aussi présente en France et en Espagne. L'espèce a fortement progressé ces dernières années, en colonisant massivement la façade atlantique française (60 % de l'effectif nicheur français en 2000). Elle a niché pour la première fois en Irlande en 1997 (12 à 55 couples de 1997 à 2001)1 et en Grande-Bretagne en 1998 (68 à 77 couples en 2000)2. Elle se reproduit également au Moyen-Orient, notamment en Turquie.
Sensible au froid, ses effectifs diminuent fortement après les vagues de froid dans le nord de son aire de répartition, où certains oiseaux ont cependant tendance à se sédentariser.
The little egret nests in colonies, often with other wading birds, usually on platforms of sticks in trees or shrubs or in a reedbed or bamboo grove. In some locations such as the Cape Verde Islands, they nest on cliffs. Pairs defend a small breeding territory, usually extending around 3–4 m from the nest. The three to five eggs are incubated by both adults for 21–25 days to hatching. They are oval in shape and have a pale, non-glossy, blue-green colour. The young birds are covered in white down feathers, are cared for by both parents and fledge after 40 to 45 days.
Its breeding distribution is in wetlands in warm temperate to tropical parts of Europe, Africa, Asia, and Australia. In warmer locations, most birds are permanent residents; northern populations, including many European birds, migrate to Africa and southern Asia. They may also wander north in late summer after the breeding season, which may have assisted its current range expansion. Globally, the little egret is not listed as a threatened species.[3]
Status in northwestern Europe
Historical research has shown that the Little Egret was once present, and probably common, in Great Britain, but became extinct there through a combination of over-hunting in the late mediaeval period and climate change at the start of the Little Ice Age. The inclusion of 1,000 egrets (among numerous other birds) in the banquet to celebrate the enthronement of George Neville as Archbishop of York at Cawood Castle in 1465 indicates the presence of a sizable population in northern England at the time, and they are also listed in the coronation feast of King Henry VI in 1429.[4][5] They had disappeared by the mid 16th century, when William Gowreley, 'yeoman purveyor to the Kinges mowthe', "had to send further south" for egrets.[5]
Further declines occurred throughout Europe as the plumes of the little egret and other egrets were in demand for decorating hats. They had been used for this purpose since at least the 17th century but in the 19th century it became a major craze and the number of egret skins passing through dealers reached into the millions. Egret farms were set up where the birds could be plucked without being killed but most of the supply was obtained by hunting, which reduced the population of the species to dangerously low levels and stimulated the establishment of Britain's Royal Society for the Protection of Birds in 1889.source wikipédia
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Les pélicans consomment presque exclusivement du poisson. Le pélican d’Amérique consomme à l’occasion des salamandres et des écrevisses, alors que le pélican à lunettes prend quelques crustacés. Les tout jeunes poussins sont alimentés avec un liquide régurgité, une sorte de “soupe de poissons”. Dès l’âge de deux semaines, ils sont nourris de poissons régurgités. Peu avant leur envol, les jeunes deviennent souvent plus trapus et plus lourds que leurs parents.
Les pélicans ont l’habitude de pêcher en groupe, un cas très rare de prédation coordonnée parmi les oiseaux. Ils se rassemblent pour former un demi-cercle à la surface de l’eau, et repoussent devant eux les poissons vers les eaux peu profondes du bord. Tout en avançant, ils écartent les ailes et plongent simultanément le bec dans l’eau pour capturer les poissons. Parfois, ils nagent avec les becs immergés tout le temps. Comme leurs becs ont une sensibilité tactile, ils peuvent détecter leurs proies sans les voir. Une autre variante, généralement employée sur les cours d’eau, consiste à former deux rangées parallèles qui nagent l’une vers l’autre. Le poisson n’est presque jamais transporté dans la poche, mais avalé dès sa capture.
En Europe occidentale, le pélican était au Moyen Âge un symbole de piété pour l'Église chrétienne : on croyait qu'il perçait sa propre chair et nourrissait ses petits de son sang. Une autre version évoque un pélican qui aurait tué ses petits, puis, au bout de trois jours, se serait percé la poitrine de son bec, et les aurait ainsi ramenés à la vie. Ces erreurs proviennent probablement d'observations superficielles. Il n'en reste pas moins que, dans l'iconographie et la symbolique chrétienne occidentale, le pélican symbolise le sacrifice du Christ, qui verse son sang pour le salut du genre humain, et la charité.
The pelican (Henet in Egyptian) was associated in Ancient Egypt with death and the afterlife. It was depicted in art on the walls of tombs, and figured in funerary texts, as a protective symbol against snakes. Henet was also referred to in the Pyramid Texts as the "mother of the king" and thus seen as a goddess. References in non-royal funerary papyri show that the pelican was believed to possess the ability to prophesy safe passage in the underworld for someone who had died.[99]
An origin myth from the Murri people of Queensland, cited by Andrew Lang, describes how the Australian pelican acquired its black and white plumage. The pelican, formerly a black bird, made a canoe during a flood in order to save drowning people. He fell in love with a woman he thus saved, but she and her friends tricked him and escaped. The pelican consequently prepared to go to war against them by daubing himself with white clay as war paint. However, before he had finished, another pelican, on seeing such a strange piebald creature, killed him with its beak, and all such pelicans have been black and white ever since. source wikipédia
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Cigognes photographiées à pont de Gau
La Cigogne blanche se reproduit dans les zones agricoles ouvertes près de zones humides, construisant son grand nid de branches dans les arbres, sur les bâtiments, ou sur une plate-forme bâtie par l'homme et prévue à cet effet48. Les nids sont généralement construits en colonies lâches25, mais on a compté jusqu'à neuf nids sur un même toit49. Généralement placé à grande hauteur, il est a l'abri des prédateurs terrestres50 mais peut occasionnellement être construit au sol. L'espèce nidifie souvent à proximité de l'habitat humain ; les nids peuvent être construits sur les églises ou d'autres bâtiments. Chaque nid mesure de un à deux mètres de profondeur, de 0,8 à 1,5 m de diamètre et pesant de 60 à 250 kg51. Il est généralement utilisé année après année, en particulier par les plus vieux mâles. Le mâle revient plus tôt dans la saison, et choisit le nid. Les grands nids produisent plus de jeunes à l'envol, et semblent être recherchés52. Un changement de nid est souvent lié à un changement dans l'appariement et à une saison de reproduction mauvaise l'année précédente ; les jeunes oiseaux sont ainsi plus susceptibles de changer de site de nidification53. Si un individu arrivant à un nid reste généralement pour s'y reproduire, on a observé dans le Sud-Ouest de la Pologne plusieurs couples se succéder dans un même nid avant qu'un ne se décide à s'y établir54.
Photo de 2 cigognes
Deux oiseaux sur le point de s'accoupler, aux Pays-Bas.
Quand le mâle a choisi le nid, les partenaires se saluent en claquetant du bec, la tête renversée sur le dos6. Quand l'entente est réussie, à force de parades et de caresses, l'accouplement donne lieu à d'audacieuses acrobaties. Le plus souvent, l'oiselle doit se tenir debout, tandis que son partenaire bat des ailes pour s'équilibrer en s'accroupissant sur elle. Les partenaires copulent fréquemment pendant le mois avant que la femelle ne ponde. Des rapports fréquents sont généralement signe de compétition spermatique ou de relations hors couple, mais ce deuxième comportement est rare chez la Cigogne blanche55.
The White Stork breeds in open farmland areas with access to marshy wetlands, building a large stick nest in trees, on buildings, or on purpose-built man-made platforms.[81] Each nest is 1–2 m (3.3–6.6 ft) in depth, 0.8–1.5 m (2.6–4.9 ft) in diameter, and 60–250 kg (130–550 lb) in weight.[82] Nests are built in loose colonies.[66] Not persecuted as it is viewed as a good omen, it often nests close to human habitation; in southern Europe, nests can be seen on churches and other buildings. The nest is typically used year after year especially by older males. The males arrive earlier in the season and choose the nests. Larger nests are associated with greater numbers of young successfully fledged, and appear to be sought after.[83] Nest change is often related to a change in the pairing and failure to raise young the previous year, and younger birds are more likely to change nesting sites.[84] Although a pair may be found to occupy a nest, partners may change several times during the early stages and breeding activities begin only after a stable pairing is achieved.[85]
Mating
Several bird species often nest within the large nests of the White Stork. Regular occupants are House Sparrows, Tree Sparrows, and Common Starlings; less common residents include Eurasian Kestrels, Little Owls, European Rollers, White Wagtails, Black Redstarts, Eurasian Jackdaws, and Spanish Sparrows.[86] Paired birds greet by engaging in up-down and head-shaking crouch displays, and clattering the beak while throwing back the head.[8] Pairs copulate frequently throughout the month before eggs are laid. High-frequency pair copulation is usually associated with sperm competition and high frequency of extra-pair copulation; however, extra-pair copulation is infrequent in White Storks.[87]
Egg
A White Stork pair raises a single brood a year. The female typically lays four eggs, though clutches of 1–7 have been recorded.[72] The eggs are white, but often look dirty or yellowish due to a glutinous covering. They measure 72.58 mm × 51.86 mm (2.857 in × 2.042 in),[88] and weigh 96–129 g (3.4–4.6 oz),[72] of which 10.76 g (0.380 oz) is shell.[88] Incubation begins as soon as the first egg is laid, so the brood hatches asynchronously, beginning 33 to 34 days later. The first hatchling typically has a competitive edge over the others. While stronger chicks are not aggressive towards weaker siblings, as is the case in some species, weak or small chicks are sometimes killed by their parents.[89][90] This behaviour occurs in times of food shortage to reduce brood size and hence increase the chance of survival of the remaining nestlings. White Stork nestlings do not attack each other, and their parents' method of feeding them (disgorging large amounts of food at once) means that stronger siblings cannot outcompete weaker ones for food directly, hence parental infanticide is an efficient way of reducing brood size. Despite this, this behaviour has not commonly been observed. source wikipédia
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Les flamants roses constituent une espèce grégaire, vivant en groupes comptant souvent de plusieurs centaines à plusieurs milliers d’individus.
Leur plumage, à qui ils doivent leur nom, est pourtant en grande partie blanc rosâtre, contrairement à l’espèce P. ruber chez qui il est beaucoup plus rouge. Ce sont les couvertures alaires qui, chez le flamant rose, revêtent une couleur rose intense, avec des rémiges primaires et secondaires noires. Le bec, unique parmi les oiseaux, est courbé et sa morphologie permet la filtration de la vase et de l’eau. Il est rose également, avec la pointe noire. Les pattes, longues et fines, sont roses chez l’adulte. Leur couleur vient des pigments caroténoïdes présents dans les algues et les crustacés qu'ils consomment1. Ces pigments sont principalement la canthaxanthine,la phoenicoxanthin et l'astaxanthine2.
Un dimorphisme sexuel de taille est observé chez cette espèce, les femelles étant en moyenne plus petites que les mâles. Le cri ressemble à celui d’une oie. Le flamant rose dort debout sur une3 ou deux pattes, la tête cachée sous une aile. Contrairement à la plupart des oiseaux, à cause de leur taille, les flamants doivent prendre quelques mètres d'élan pour décoller des eaux. Migrateurs, ils volent en formation, en gardant cou et pattes étirés. Les battements d'ailes, puissants et réguliers, les propulsent à 60 km/h sur des étapes de plusieurs centaines de kilomètres.
The Greater Flamingo (Phoenicopterus roseus) is the most widespread species of the flamingo family. It is found in parts of Africa, southern Asia (coastal regions of Pakistan and India), and southern Europe (including Spain, Albania, Turkey, Greece, Cyprus, Portugal, Italy and the Camargue region of France). Some populations are short distance migrants, and sightings north of the breeding range are relatively frequent; however, given the species' popularity in captivity, whether or not these are truly wild individuals is a matter of some debate. A single bird was seen on North Keeling Island (Cocos (Keeling) Islands) in 1988. The Greater Flamingo is the state bird of Gujarat, India.source wikipédia
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