Féria d'Arles 2014
La tauromachie avec mise à mort se pratique sous diverses formes en Europe, en Amérique latine.
La corrida est le combat du torero à pied avec un toro de lidia âgé d'au moins quatre ans, dans une arène, avec Picador et cuadrilla. Elle est pratiquée essentiellement en Espagne, dans le midi de la France, dans divers états d’Amérique latine et des États-Unis ainsi que dans quelques communes du Portugal5.
La corrida de rejón est l'affrontement du torero à cheval avec un taureau de combat qui sera tué avec une lance ou rejón5.
Beja / Portugal (1994)
La course portugaise ou corrida portugaise (en portugais, tourada) « est un spectacle tauromachique où des cavaliers vêtus en habit de marquis du XVIIe siècle affrontent les taureaux de combat avec des rejónes et des banderilles. La mise à mort du taureau ne se fait pas en public, il est arrêté par des forcados avant d'être puntillé au toril6. » Elle est pratiquée essentiellement au Portugal et également dans le midi de la France.
Bullfighting traces its roots to prehistoric bull worship and sacrifice in Mesopotamia and the Mediterranean region. The first recorded bull fight may be the Epic of Gilgamesh, which describes a scene in which Gilgamesh and Enkidu fought and killed the Bull of Heaven ("The Bull seemed indestructible, for hours they fought, till Gilgamesh dancing in front of the Bull, lured it with his tunic and bright weapons, and Enkidu thrust his sword, deep into the Bull's neck, and killed it").[6] Bull leaping was portrayed in Crete, and myths related to bulls throughout Greece. The killing of the sacred bull (tauroctony) is the essential central iconic act of Mithras, which was commemorated in the mithraeum wherever Roman soldiers were stationed. The oldest representation of what seems to be a man facing a bull is on the Celtiberian tombstone from Clunia and the cave painting El toro de hachos, both found in Spain.[7][8]
Bullfighting is often linked to Rome, where many human-versus-animal events were held as competition and entertainment, the Venationes. These hunting games were spread in Africa, Europe and Asia during the Roman times. There are also theories that it was introduced into Hispania by the Emperor Claudius, as a substitute for gladiators, when he instituted a short-lived ban on gladiatorial combat. The latter theory was supported by Robert Graves (picadors are related to warriors who wielded the javelin, but their role in the contest is now a minor one limited to "preparing" the bull for the matador.) Spanish colonists took the practice of breeding cattle and bullfighting to the American colonies, the Pacific and Asia. In the 19th century, areas of southern and southwestern France adopted bullfighting, developing their own distinctive form.
Mithras killing a bull
Religious festivities and royal weddings were celebrated by fights in the local plaza, where noblemen would ride competing for royal favor, and the populace enjoyed the excitement. In the Middle Ages across Europe, knights would joust in competitions on horseback. In Spain, they began to fight bulls. source wikipédia
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Photo prise à la Fête de l’automne au Jardin Japonais du parc Borély à Marseille
Attention à ne jamais planter des baguettes dans un plat de riz ou de nouilles en face d'un Chinois ou d'un Japonais. Cela évoque les bâtonnets d'encens sur la tombe d'un mort[réf. nécessaire] et peut être perçu comme une menace.
Casser une paire de baguettes dans la maison d'un hôte peut être compris comme une menace de mort.[réf. nécessaire]
Frotter une paire de baguettes avant de commencer un repas est un signe de politesse signifiant l'agréable perspective d'un repas entre amis. De plus cela permet d'ôter les fibres de bambou qui se décollent. [réf. nécessaire]
Croiser une paire de baguettes dans son assiette est un signe de mort, les baguettes doivent être remises parallèlement sur le porte baguettes.
A 2003 study found that regular use of chopsticks by the elderly may slightly increase the risk of osteoarthritis in the hand, a condition in which cartilage is worn out, leading to pain and swelling in the hand joints.[38] There have also been concerns regarding the use of certain disposable chopsticks made from dark wood bleached white that may pose a health risk, causing coughing or leading to asthma.[39]
A 2006 Hong Kong Department of Health survey found that the proportion of people using distinctly separate serving chopsticks, spoons, or other utensils for serving food from a common dish has increased from 46% to 65% since the SARS outbreak in 2003.
世界の約3割の人が箸で、4割が手で、残り3割がナイフ・フォーク・スプーンで食事をしているとの統計があり、これは、食物の違いや調理法に起因するとする見方がある[1]。粘り気のある米を主食とする地域や麺を主食とする中国の一地方では箸、肉類はナイフ、その他は手で食べる地域が多く、また、はさむ食材が多い料理には箸を、突く・乗せる食材が多い料理にはフォークを使う食法が発展したとする。
日本、中国、満洲、台湾、シンガポール、ベトナム、タイ、ラオス、カンボジア、モンゴル、朝鮮などで日常的に使われてきた。このうちタイとカンボジアとラオスでは、汁に入った麺類を食べるときだけ箸とレンゲを使い、他の料理にはスプーンとフォークを用いるが、蒸したもち米をちぎり、手で丸めて食べる「カオ・ニャオ」が好まれる地域では手も使う。日本料理や中華料理の世界的な普及により、欧米諸国でも、箸を使える人は少なくない。
中国や朝鮮では匙を主に使う匙主箸従型である一方、日本では主に箸が使われ、また澄まし汁や味噌汁といったスープにも箸を使用するため、椀を手に持って口に運ぶのも日本だけであるとされる source wikipédia
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Lolita est un roman écrit en anglais de l'écrivain russe naturalisé américain Vladimir Nabokov publié en septembre 1955 à Paris.
Le récit, écrit à la première personne du singulier par Humbert Humbert, un narrateur qui se définit comme nympholepte1, relate sa passion amoureuse et sexuelle pour Dolores Haze, une nymphette âgée de douze ans et demi au début d'une relation qui se terminera tragiquement.
En dépit de son sujet sulfureux qui provoqua à sa sortie scandale et censure, le roman est actuellement reconnu comme un chef-d'œuvre de la littérature moderne ; il est souvent cité comme l'une des œuvres les plus marquantes du XXe siècle. Il apparaît2 ainsi dans la liste Les 100 livres du siècle proposée par Le Monde et dans des listes similaires établies dans d'autres pays.
Lolita au cinéma
Le roman a fait l'objet de deux adaptations cinématographiques :
en 1962 avec Lolita de Stanley Kubrick ;
en 1997 avec Lolita d'Adrian Lyne.
Une des principales différences entre les deux films réside dans la place donnée au personnage de Clare Quilty :
Nabokov dans son roman traite le personnage de Quilty en filigrane, suggéré, jamais décrit, jamais clairement identifié, jusqu'à son apparition finale (en dire plus révélerait l'intrigue). À l'inverse, Kubrick fait de Quilty un personnage de premier plan, nommé à de nombreuses reprises, et véritablement au-devant de la scène. Non seulement l'apparition finale de Quilty est déplacée en début du film, mais le personnage lui-même est placé au tout premier plan, juste devant la caméra, pendant que Humbert est relégué au fond du décor ou dans des plans de coupe.
Cette approche de Kubrick tient peut-être au fait que Quilty était joué par Peter Sellers, son acteur fétiche qu'il réutilisera dans trois des principaux rôles dans son film suivant Docteur Folamour, et qu'il aurait naturellement mis en valeur par rapport à James Mason, qui interprétait Humbert. Il n'est pas impossible aussi que le jeu fantasque et la personnalité ingouvernable de Peter Sellers aient influencé Kubrick.
L'appréciation du film est une pomme de discorde entre les défenseurs de Kubrick et ceux de Nabokov31,32.
La deuxième version avec Jeremy Irons tente de se rapprocher du roman, notamment en replaçant Quilty au second plan et en rendant plus explicite la relation sexuelle mais surtout en évoquant le passé pré-Lolita d'Humbert (qui avait été occulté par Kubrick mais qui joue un rôle essentiel dans le roman de Nabokov).
Lolita is a novel by Vladimir Nabokov, written in English and published in 1955 in Paris and 1958 in New York. It was later translated by its Russian-native author into Russian. The novel is notable for its controversial subject: the protagonist and unreliable narrator, a 37–38 year old literature professor Humbert Humbert, is obsessed with the 12-year-old Dolores Haze, with whom he becomes sexually involved after he becomes her stepfather. "Lolita" is his private nickname for Dolores (both the name and the nickname are of Spanish origin).
After its publication, Lolita attained a classic status, becoming one of the best-known and most controversial examples of 20th century literature. The name "Lolita" has entered pop culture to describe a sexually precocious girl. The novel was adapted to film by Stanley Kubrick in 1962, and again in 1997 by Adrian Lyne. It has also been adapted several times for stage and has been the subject of two operas, two ballets, and an acclaimed but failed Broadway musical.
Lolita is included on Time's List of the 100 Best Novels in English-language from 1923 to 2005. It is fourth on the Modern Library's 1998 list of the 100 Best Novels of the 20th century. It was also included in the 100 Best Books of All Time, compiled in 2002 by the Norwegian Book Club.source wikipédia
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Fête de l'épiphanie, aix en Povence
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"Santa" and "Santa Clause" redirect here. For other uses of "Santa", see Santa (disambiguation). For the film, see The Santa Clause. For other uses of "Santa Claus", see Santa Claus (disambiguation).
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1881 illustration by Thomas Nast who, with Clement Clarke Moore, helped to create the modern image of Santa Claus.
The modern portrayal of Santa Claus frequently depicts him listening to the Christmas wishes of young children.
Santa Claus, also known as Saint Nicholas, Father Christmas and simply "Santa", is a figure with legendary, mythical, historical and folkloric origins who, in many western cultures, is said to bring gifts to the homes of the good children during the late evening and overnight hours of Christmas Eve, December 24.[1] The modern figure was derived from the Dutch figure of Sinterklaas,[2] which, in turn, was part of its basis in hagiographical tales concerning the historical figure of Christian bishop and gift giver Saint Nicholas. A nearly identical story is attributed by Greek Orthodox and Byzantine Christian folklore to Saint Basil of Caesarea. Basil's feast day on January 1 is considered the time of exchanging gifts in Greece.
Santa Claus is generally depicted as a portly, joyous, white-bearded man - sometimes with spectacles - wearing a red coat with white collar and cuffs, white-cuffed red trousers, and black leather belt and boots (images of him rarely have a beard with no moustache). This image became popular in the United States and Canada in the 19th century due to the significant influence of Clement Clarke Moore's 1823 poem "A Visit From St. Nicholas" and of caricaturist and political cartoonist Thomas Nast.[3][4][5] This image has been maintained and reinforced through song, radio, television, children's books and films.
According to a tradition which can be traced to the 1820s, Santa Claus lives at the North Pole, with a large number of magical elves, and nine (originally eight) flying reindeer. Since the 20th century, in an idea popularized by the 1934 song "Santa Claus Is Coming to Town", Santa Claus has been believed to make a list of children throughout the world, categorizing them according to their behavior ("naughty" or "nice") and to deliver presents, including toys, and candy to all of the well-behaved children in the world, and sometimes coal to the naughty children, on the single night of Christmas Eve. He accomplishes this feat with the aid of the elves who make the toys in the workshop and the reindeer who pull his sleigh.
Le père Noël est un personnage légendaire et mythique lié à la fête de Noël. Bien que la tradition du père Noël ait des origines en Europe du Nord, il est popularisé aux États-Unis au XIXe siècle. Le terme « père Noël » apparaît plus tardivement en France, au début du XXe siècle. Qu'il soit appelé Father Christmas ou Santa Claus en anglais, Weihnachtsmann en allemand, ou Père Noël, sa fonction principale est de distribuer des cadeaux aux enfants dans les maisons pendant la nuit de Noël qui a lieu chaque année du 24 au 25 décembre.
Le père Noël est l'équivalent français du Santa Claus américain dont le nom est lui-même une déformation du Sinterklaas (saint Nicolas) néerlandais. Il est aussi largement inspiré de Julenisse, un lutin nordique qui apporte des cadeaux, à la fête du milieu de l'hiver, la Midtvintersblot, ainsi que du dieu celte Gargan, (qui inspira le Gargantua de Rabelais) et du dieu viking Odin, qui descendait sur terre pour offrir des cadeaux aux enfants scandinaves. De Julenisse, le Père Noël a gardé la barbe blanche, le bonnet et les vêtements en fourrure rouge.
Même si le mythe peut varier fortement d'une région à l'autre, notamment à cause du climat du 25 décembre qui peut aller du début de l'hiver dans l'hémisphère nord au début de l'été dans l'hémisphère sud, on l'imagine généralement comme un gros homme avec une longue barbe blanche, habillé de vêtements chauds de couleur rouge avec un liseré de fourrure blanche ; des lutins l'aident à préparer les cadeaux. Il effectue la distribution à bord d'un traîneau volant tiré par des rennes (ou sur une planche de surf en Australie1).
Il entre dans les maisons par la cheminée et dépose les cadeaux dans des chaussures disposées autour du sapin de Noël ou devant la cheminée (en France), dans des chaussettes prévues à cet effet accrochées à la cheminée (en Amérique du Nord et au Royaume-Uni), ou tout simplement sous le sapin. En Islande, il dépose un petit cadeau dans une chaussure que les enfants laissent sur le bord d'une fenêtre dès le début du mois de décembre. Au Québec, les cadeaux au pied du sapin sont de mise, en plus des « bas de Noël » disposés sur la cheminée dans lesquels on met les petites surprises.
Contrairement à d'autres personnages de fiction, le père Noël est habituellement présenté aux enfants comme étant un être réel2. Selon les familles, la tradition veut soit que l'enfant fasse une liste de cadeaux qu'il désire pour Noël, soit que le père Noël décide « lui-même » quels cadeaux mérite l'enfant.source wikipédia
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