Le désespoir
C’est quand t’as tout perdu,
Ta raison, ton amour,
Tes larmes sans secours,
Coulent sur ton vécu.
Tu es comme l’arbre,
En hiver nu et froid,
Le vide te foudroie,
En espoir de marbre.
Comme il est long l’hiver,
Sans fleur, sans présence,
Dans ce gris sans nul sens,
Vivre est un enfer.
Ces mois, un jour, passent,
Et la lumière est,
Et la survie renaît,
Mais rien ne s’efface.
Michaël Overberg
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