Petite comptine d'automne, tu peux venir sans t'excuser.
J'aime tellement quand tu me fredonnes ta mélodie chaque année.
Petite comptine d'automne, il m'en a fallu du temps pour t'aimer.
Maintenant je prends ce que la vie me donne et tout peut recommencer.
Je ne demande pas grand chose
Un signe, un geste, un regard,
Je sais que c'est dur de faire une pause, de s'arrêter.
S'ouvrir dehors, c'est s'ouvrir dedans, pourtant je me sens "solo" dans la foule.
Noyée dans cette grande houle.
A Paris, à Londres, dans n'importe quelle ville,
Je suis "nous, vous" "elle ou il".
Prenons le temps d'un "bonsoir",
Prenons le temps au hasard,
ça se joue parfois à une seconde pour être quelqu'un dans ce monde.
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Je ne demande pas grand chose
Un signe, un geste, un regard,
Je sais que c'est dur de faire une pause, de s'arrêter.
S'ouvrir dehors, c'est s'ouvrir dedans, pourtant je me sens "solo" dans la foule.
Noyée dans cette grande houle.
A Paris, à Londres, dans n'importe quelle ville,
Je suis "nous, vous" "elle ou il".
Prenons le temps d'un "bonsoir",
Prenons le temps au hasard,
ça se joue parfois à une seconde pour être quelqu'un dans ce monde.
Elle vient tout les matins, dans son habit mal taillé de garçonne.
Accroche son manteau triste trop lourd, comme tous les jours, comme si de rien, elle se dit "sale journée".
Sa vie entre ses mains, c'est pas celle que l'on connait, c'est tous les jours le même refrain. Le bureau à plein temps, heureuse à mi-temps quand elle peut le soir retrouver son vraie visage
Elle rêve tous les soirs de cette vie qu'elle aimerait, parfois tout gris, parfois tout gloire, sans jamais vraiment renoncer.
Toi qui me lis, qui es tu dans le noir ? Dis, est ce que tu te connais ? Aux quatre coins de ton miroir.
Rêveuse à pleins temps
Peureuse à mi-temps
Elle danse que tard la nuit,
Et c'est déjà ça !