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If you are the dealer, I'm out of the game
If you are the healer, it means im broken and lame
If thine is the glory, then mine must be the shame
You want it darker
We kill the flame
Magnified, sanctified
Be the holy name
Vilified, crucified
In the human frame
A million candles burning
For the help that never came
You want it darker
Hineni, hineni
I'm ready, my Lord
There's a lover in the story
But the story's still the same
There's a lullaby for suffering
And a paradox to blame
But it's written in the scriptures
And it's not some idol claim
You want it darker
We kill the flame
They're lining up to prisoners
And the guards are taking aim
I struggle with some demons
They were middle class and tame
I didn't know I had permission
To murder and to maim
You want it darker
Hineni, hineni
I'm ready, my Lord
Magnified, sanctified
Be the holy name
Vilified, crucified
In the human frame
A million candles burning
For the love that never came
You want it darker
We kill the flame
If you are the dealer, let me out of the game
If you are the healer, I'm broken and lame
If thine is the glory, mine must be the shame
You want it darker
Hineni, hineni
Hineni, hineni
I'm ready, my Lord
Paroliers : Leonard Cohen / Patrick Raymond Leonard
Paroles de You Want It Darker © Universal Music Corp., Old Ideas Llc, No Tomato Music, Pw Arrangements
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Tostaky (le continent) est une chanson de Noir Désir parue sur l'album Tostaky, en janvier 1993
Nous survolons des villes
Des autoroutes en friche
Diagonales perdues
Et des droites au hasard
Des femmes sans visage
À l'atterrissage
Soyons désinvoltes
N'ayons l'air de rien
Para la queja mexica
Este sueño de america
Celebremos la aluna
De siempre, ahorita
Et les branleurs traînent
Dans la rue
Et ils envoient ça aux étoiles
Perdues
Combien à attendre
Encore combien à attendre
Combien à attendre
Encore combien à attendre
Combien à attendre
Encore combien à attendre
Combien à attendre
Tostaky
Le fond du continent
L'or du nouveau monde
Pyramides jetables
Hommes d'affaires impeccables
Quand la pluie de sagesse
Pourrit sur les trottoirs
Notre mère la Terre
Étonnez-moi
Para la queja mexica
Este sueño de america
Celebremos la aluna
De siempre, ahorita
Pendre les fantômes
Cortez
Et pourrir à l'ombre
Cortez
De l'Amérique vendue
À des gyrophares crûs
Pour des nouveaux faisceaux
Pour des nouveaux soleils
Pour des nouveaux rayons
Pour des nouveaux soleils
Aqui para nosotros
Aqui para nosotros
Aqui para nosotros
Aqui para nosotros
Aqui para nosotros
Aqui para nosotros
Aqui para nosotros
Aqui para nosotros
Aqui para nosotros
Aqui para nosotros
Aqui para nosotros
Tostaky
Bien reçu
Tous les messages
Ils disent qu'ils ont compris
Qu'il n'y a plus le choix
Que l'esprit qui souffle
Guidera leurs pas
Qu'arrivent les derniers temps où
Nous pourrons parler
Alors soyons désinvoltes
N'ayons l'air de rien
Soyons désinvoltes
N'ayons l'air de rien
Allez, soyons désinvoltes
N'ayons l'air de rien
Soyons désinvoltes
N'ayons l'air de rien
Paroliers : Denis Guy Marc Barthe / Bertrand Lucien Cantat / Frederic Vincen Vidalenc / Serge Marius Pierre Teyssot Gay
Paroles de Tostaky (Le continent) © Universal Music Publishing
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Le vent nous portera est une chanson du groupe Noir Désir (2001) en single et publiée sur l'album Des visages des figures le 11 septembre 2001.
Je n'ai pas peur de la route
Faudrait voir, faut qu'on y goûte
Des méandres au creux des reins
Et tout ira bien là
Le vent nous portera
Ton message à la Grande Ourse
Et la trajectoire de la course
Un instantané de velours
Même s'il ne sert à rien va
Le vent l'emportera
Tout disparaîtra mais
Le vent nous portera
La caresse et la mitraille
Et cette plaie qui nous tiraille
Le palais des autres jours
D'hier et demain
Le vent les portera
Génétique en bandoulière
Des chromosomes dans l'atmosphère
Des taxis pour les galaxies
Et mon tapis volant, dis?
Le vent l'emportera
Tout disparaîtra mais
Le vent nous portera
Ce parfum de nos années mortes
Ce qui peut frapper à ta porte
Infinité de destins
On en pose un et qu'est-ce qu'on en retient?
Le vent l'emportera
Pendant que la marée monte
Et que chacun refait ses comptes
J'emmène au creux de mon ombre
Des poussières de toi
Le vent les portera
Tout disparaîtra mais
Le vent nous portera
Paroliers : Jean-paul Roy / Gay Serge Marius Pierre Teyssot / Denis Guy Marc Barthe / Bertrand Lucien Cantat
Paroles de Le vent nous portera © Universal Music Publishing, Nd Musique
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The Real Me est la seconde chanson de l'opéra-rock Quadrophenia des Who (1973)
I went back to the doctor, to get another shrink
I sit and tell him 'bout my weekend
But he never betrays what he thinks, hoo!
Can you see the real me, doctor? Doctor!
Can you see the real me, doctor? Oh, doctor!
I went back to my mother
I said, "I'm crazy, ma, help me"
She said, "I know how it feels, son
'Cause it runs in the family"
Can you see the real me, mama? Mama!
Can you see the real me, mama? Oh, mama!
Can you see, can you see the real me?
Can you see, can you see the real me?
The real me, the real me
The cracks between the paving stones, like rivers of flowing veins
Strange people who know me, peeping from behind every window pane
The girl I used to love, lives in this yellow house
Yesterday she passed me by, she doesn't wanna know me now
Can you see the real me?
Can ya?
Can ya?
Can you see the real me?
Can ya? Oh, yeah!
I ended up with a preacher, full of lies and hate
I seemed to scare him a little
So he showed me to the golden gate
Can you see the real me, preacher? Preacher!
Can you see the real me, preacher?
Can you see?
Can you see?
Can you see? Oh!
Can you see the real me, doctor?
Can you see the real me, mother?
Can you see the real me, me, me, me...?
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